Aléa
Une nouvelle muse au charme inimité
Dans mes alexandrins parce que dans ma vie
Est arrivée enfin ; ma plume en est ravie.
Elle a parlé de mon sourire illimité
Qui n'existait en fait qu'à sa proximité
Et s'en allait comme elle, empêchant la survie
D'une joie persistante à présent assouvie.
Amalgamant la mienne et son intimité,
L'enivrement voulu par l'éternelle étreinte,
Écrit en vers ici, guidés par la contrainte
Affirme avec mes mots à chaque alinéa
L'envie à tous moments de sentir sa présence
Entre mes bras câlins jusqu'à l'ultime aisance…
Atteignant cet instant je ne suis qu'aléa.